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Âme
de
Danse
Comment oublierai-je le jour où on s'est rencontré ?
Il faisait presque nuit, tu t'en souviens, il pleuvait.
Et pourtant, tout autour de nous, des enfants jouaient.
Je me souviens que l'un d'entre eux déjà bien petit,
Choyait et protégeait un autre enfant aussi petit que lui.
Devant toute cette tendresse d'âme,
Et devant toute cette affection,
Je te revois encore pleurer et je ressens encore les larmes
Que moi aussi, j'avais versé.
Comment oublierai-je l'instant où j'ai commencé à t’aimer,
Il faisait presque nuit, il pleuvait,
Tes larmes créaient mes larmes, alors, qu'au loin,
Un coin du monde brûlait.
Et je me rappelle que tremblotant sous le ciel tout embrasé,
Je me rappelle t'avoir crié de toutes mes forces
Que je t’aimais.
Depuis, le temps est trop vite passé,
Mais ce jour tu sais, plus jamais je ne l’oublierai.
(Chanson)
Tu es ma fleur du mal
Qui prend racine dans mes entrailles
Qui fleurit dans mon sexe de mal
Tu te fanes et tu crées mon but final.
Tu es l'enfer du mal
Tu bois mon sang qui se fait rare
Tu souilles mon sang damné chacal
Mon sang prend la couleur du mal.
Tu es l'empire des rêves
Sans toi, mes rêves sont des cauchemars
Tu es l'empire des rêves
Mes rêves sans toi sont faits de noir.
Tu es le fruit maudit
Qui fit d'Adam un vil proscrit
Tu es le fruit bénit
Pour lequel je me meurs d'envie.
Tu es la mort espiègle
Aux portes de l'éternité
Tu es la vie sereine
Que j'aime tant à respirer.
Tu es le temps froid sans lumières
Que les cigognes veulent oublier
Tu es un soleil de lumière
Qu'un arc en ciel vient égayer.
Tu es le temps froid sans lumières
Tu es un soleil de lumière
Tu es la mort espiègle
Tu es la vie sereine
Tu es le fruit maudit
Tu es le fruit bénit
Tu es l'empire des rêves
Oh ! Oui, l'empire des rêves
Tu es l'enfer du mal
Tu es ma fleur du mal
Tu es l'enfer du mal
Tu es ma fleur du mal.
Didier
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La musique comme une respiration, un souffle de vie, un don de Dieu, cadeau aux égarés comme aux gens heureux…
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